samedi 29 octobre 2022

Mon roman _ Prologue + Chapitre 1

 Coucou ! 

J'ai commencé à écrire une histoire en janvier 2022 et aujourd'hui, j'ai enfin fini le chapitre 1 ! Rectification : j'ai enfin fini de le taper à l'ordi !  Je voulais vraiment vous partagez ce début... Je n'ai pas encore trouvé de titre, si vous avez des propositions...(Enfin pour l'instant, vous n'en savez pas beaucoup😅) 

Je vous explique un peu pour vous plongez dans l'ambiance : c'est une fille de 11 ans qui va vivre des aventures (très original, dis donc !). Ses parents sont morts quand elle était toute petite, et depuis elle parcourt le monde aux côtés de sa grande sœur, journaliste. Cette année, elle va habiter chez une amie de sa sœur, qui, au fil de l'histoire, va se révéler bien plus qu'une simple amie... 

Je vous laisse découvrir le prologue ainsi que le premier chapitre !


Prologue/Flashback
- Dis, Lizzy Liz, pourquoi tu pleures ? demande une petite voix enfantine.
- Parce que je suis triste, répond une autre voix féminine, plus grave que l'autre.
La petite fille observe les gens autour d'elle.
- Et les autres, ils pleurent parce qu'ils sont tristes, eux aussi ?
La jeune femme hoche la tête. Puis sa petite sœur lui demande encore :
- Pourquoi es-tu triste, Lizzy Liz ?
"Lizzy Liz" ne répond pas. Après une profonde réflexion, elle dit :
- Parce que.
La petite fille fronce les sourcils. Puis tout à coup, elle reprend la parole :
- C'est quoi la mort ?
- C'est... C'est un peu comme un long sommeil dont on ne se réveille jamais, répond finalement la jeune femme.
- Alors Papa et Maman ne vont jamais se réveiller ? On ne va jamais les revoir ? demande curieusement la petite.
Sa grande sœur soupire et la prend sur ses genoux.
- Non. Non, Blanchounette, on ne va jamais revoir Papa et Maman.
Et Lizzy Liz serre Blanchounette dans ses bras, de grosses larmes dévalant ses joues et mouillant les cheveux de sa petite sœur, tandis que le souvenir se dissipe peu à peu dans la brume...

Chapitre 1

- Tu fais bien attention dans l’avion, tu n’oublies pas tes bagages, si tu as faim ou soif, je t’ai tout mis dans ton sac. S’il y a un souci, tu peux aller voir l’hôtesse de l’air. Quand tu arrives à l’aéroport, un taxi t’attendra là-bas.Tu m’appelles quand tu arrives chez Lynda. Et comportes-toi bien !

- Ne t’inquiètes pas, Lizzy Liz ! Tout va bien se passer et je vais être sage comme une image, promis !, je lui réponds.

Ma grande sœur sourit et me serre contre elle.

- Allez, Blanchounette ! C’est l’heure !

Je fais un dernier bisou à Liz et me dirige vers la douane. Une fois passée, je regarde l’heure. Il reste vingt minutes avant l’embarquement. J’entre dans un magasin, achète deux magazines et ressort. Puis je me dirige vers la salle d’embarquement.
Je m’assieds sur un des sièges gris et regarde autour de moi. A ma droite, une famille occupe toute une moitié de rangée. Les deux enfants se disputent pour savoir qui va avoir les bonbons en premier. Le dernier fond en larmes, alors la maman lui donne une sucette. Aussitôt, l’autre se précipite et en réclame aussi. Pff…
A ma gauche, un couple est en train de se disputer.

- Arrête un peu ! Tu es toujours sur ton téléphone. Parle-moi !

- Pour t’entendre te plaindre toutes les cinq minutes ?

Heureusement, une voix dans les hauts-parleurs annonce l’embarquement, arrêtant les deux enfants et les deux époux de se chamailler.
Je montre mon billet et mon passeport, avance dans le couloir et rentre dans l’avion. Je m’assieds au fond, près du hublot, et attache ma ceinture. L’hôtesse de l’air fait son petit discours sur la sécurité et blablabla, nous souhaite un bon voyage et va s’asseoir.
L’avion démarre, roule de plus en plus vite, prend de la vitesse et… On est dans le ciel.
Je devrais être habituée, vu tous les voyages que j’ai fait depuis toute petite, mais cette fois, mon petit-déjeuner que j’ai mangé plus tôt avec Liz ne passe pas. Peut-être parce que c’est la première fois que je voyage seule… Ma grande sœur, Liz, est journaliste. Depuis toute petite, elle me traîne de voyage en voyage, de pays en pays, de ville en ville. Mais cette année, Liz a décidé que c'était mieux que je reste sur place. Elle m’a donc envoyé chez une amie, chez qui je vais habiter cette année.
Je sors mes écouteurs de mon sac à dos blanc couvert de graffitis, petits mots et dessins en tous genres, vestiges de mes voyages et de tous mes amis rencontrés pendant ceux-ci.
Bientôt, les premières notes de ma chanson préférée résonnent dans le creux de mes oreilles.
Je me penche en avant et regarde à travers le hublot. En dessous, un gros duvet blanc, à travers lequel je perçois des petites taches de vert. Au dessus, un ciel bleu comme… comme le ciel et un grand soleil éclatant.
Je recule et pose ma tête contre l’appuie-tête. Petit à petit, mes yeux se ferment et je m’endors, malgré Soprano qui me hurle dans les oreilles.
Quand je rouvre les yeux, l’hôtesse de l’air passe entre les sièges pour distribuer boissons et nourriture.
- Tu veux quelque chose, ma jolie ? me demande-t-elle gentiment.

- Merci, j’ai déjà mon repas !

Je sors ma boîte déjeuner de mon sac, déplie la table incrustée dans le siège à l’avant et la pose dessus. Elle contient deux sandwichs avocat-saumon, deux sandwichs beurre de cacahuète-Nutella, une bouteille de jus d’abricot et un sachet de bonbons.
Une fois mon déjeuner terminé, je rouvre mon sac et sort les magazines que j’ai achetés plus tôt. Tout en lisant les dernières actus, j’entame mon sachet de Dragibus noirs, mes préférés. Sauf que trente minutes plus tard, j’ai tout lu et tout mangé. Aaargh, c’est trop long..! J’essaie de dormir, mais c’est impossible. Alors j’allume la tablette devant et regarde un film… Qui est tellement ennuyeux, que, cette fois, je m’endors pour de bon.
Quand je me réveille, l’avion entame son atterrissage.

- … fait 25 °C, avec un grand soleil. Merci d’avoir choisi notre compagnie, au revoir et à bientôt !

J’attrape mon sac à dos et ma veste puis sort de l’avion. L’hôtesse de l’air me souhaite une bonne journée. Avant de récupérer mes bagages, je passe aux toilettes et j’en profite pour me passer un peu d’eau sur le visage. Puis je sors et me dirige vers le tapis roulant. Je scrute toutes les valises, une à une, cherchant les miennes. Enfin, j’aperçois une tache de bleu pastel dans un océan de couleur sombre. Étant probablement la seule à avoir une valise de cette couleur, je m’approche… Et une vieille dame empoigne MA valise.

- Attendez, madame ! C’est ma valise ! je m’écrie, sûre de moi.

- Écoutez, jeune fille, je n’ai rien à faire d’une petite insolente dans votre genre. J’ai une importante réunion dans quelques heures et un taxi à prendre, alors laissez-moi partir.

- Madame, je vous en prie, vous faites erreur… Regardez, l’étiquette est à mon nom, Blanche Fontaine !

- Jeune fille, j’ai perdu assez de temps comme ça ! répond-elle d’un ton tranchant.

- Mais…

- Il n’y a pas de mais qui tienne ! me coupe-t-elle. Et en espérant ne jamais vous revoir !

Et elle s’éloigne avec des grands pas, ma valise à la main. Je peste intérieurement. Ah, les adultes d'aujourd'hui ! Ils pensent qu’ils ont toujours raison. Les adultes devraient apprendre à écouter les plus petits qu’eux ! Malgré tout, je sais que courir après cette dame ne changera rien, alors je me tourne vers un agent de sécurité.

- Monsieur, une dame âgée vient de me prendre ma valise. Elle ne veut rien entendre, et refuse de me la redonner.

L’homme me dit de me rasseoir et va voir les gens de l’aéroport. Pour me rassurer, je sers mon porte-clés nounours qui a la fourrure toute douce. Soudain, mon téléphone vibre dans ma poche. C’est Liz. Je décroche.

- Tout va bi-Qu’est-ce qui ne va pas ? me demande-t-elle dès qu’elle voit ma tête.

- Oh, euh…, je ne peux pas résister à Liz, elle me fait tout avouer en un seul mot. Une mamie aigrie vole ma valise, prétend que c’est la sienne et se casse avec. J’ai prévenu un garde, je crois qu’il est allé voir le personnel de l’aéroport.

Je ne suis pas du tout crédible en mode “je la joue cool, tout va bien, tu n’as pas à t’inquiéter”, et ma sœur s’en rend vite compte. Surtout à cause de mon regard fuyant.

- Tu trouves ça vraiment si terrible ? me demande Liz en souriant.

Quoi ?! Moi qui me préparait à une vague de panique ! Je croyais qu’elle allait venir illico presto, et au lieu de ça, elle reste calme et posée.

- Euh… Tu es sûre que ça va, toi ? je réponds, un peu inquiète de sa réaction.

Liz éclate de rire.

- Bien sûr que oui ! C’est juste que, vu ton expression, tu t’inquiètes plus de ma réaction que de ta situation plutôt… ennuyante, en effet. Mais je suis sûre que l’aéroport va trouver ta valise tout de suite !

Hmm… Je suis peu convaincue.

- Allez, Blanchounette… Fais-moi confiance, s’il-te-plaît ! Combien de fois me suis-je trompée ?

- Hmm, laisse-moi réfléchir… Toutes les fois ?

Liz éclate de rire. Tiens, qui voilà…

- Bon, euh, je vais devoir te laisser. L’agent revient avec ma valise, je déclare.

- Et une bonne fois de plus ! plaisante Liz. Bisous, Blanchounette !

- Bisous, Lizzy Liz !

Et on raccroche. Le vigile me tend ma valise et m’explique que la vieille dame a des troubles de mémoire (pas étonnant, vu son âge) et qu’elle a cru que c’était ses bagages. Non, mais franchement… Je remercie le monsieur et récupère mon autre valise (jaune, celle-ci).
Je sors dehors, où un taxi m’attend.

- Mlle Blanche Fontaine ? demande le chauffeur. Vous pouvez monter à bord, ajoute-t-il quand je hoche la tête.
Je rentre dans la voiture, m'assoit et attache ma ceinture.

- Direction la maison de Lynda Sourire ? vérifie le chauffeur.

- Tout à fait !

- Je vous préviens, cela risque d’être un peu long, étant donné qu’elle habite dans le sud de l’île.

- Ah, euh, d’accord…

Je ne me suis pas du tout renseignée sur l’île où je vais loger cette année, ni où habite Lynda exactement. D’habitude, Liz se charge de guide. Cette fois, elle m’a dit tout au plus que la maison de Lynda est grande et confortable et que je vais sûrement m’y plaire.
On roule pendant environ une heure dans un silence complet, jusqu’à ce que le chauffeur prend la parole :

- Nous allons bientôt passer par la voie continentale, qui relie le nord et le sud de l’île. Il y a beaucoup de trafic, donc cela risque de prendre un moment. En revanche, vous pourrez profiter de la vue.

On continue d’avancer, quand on débouche sur une grande autoroute remplie de voitures. Mais ce n’est pas le nombre inimaginable de véhicules qui me coupe le souffle. C’est que des deux côtés de l'autoroute, on peut voir la mer, d’un bleu limpide. C’est juste magnifique. Sans que je puisse m’en empêcher, un “wahou” émerveillé s’échappe de mes lèvres. Je reste tétanisée tout le long de la traversée. Enfin, on en est sortis de la file interminable de voitures.
Mais là, je comprends enfin la différence entre le nord et le sud d’Anglora. Si le nord grouillait de bruit, de population, d’agitation, le sud est un océan de paix. Devant moi s’étendent des prés, des champs, des forêts à perte de vue. Une vraie merveille. Tout ici inspire le calme et la nature, de la grande baie que j’aperçois vaguement sur le côté, à la prairie constellée de minuscules fleurs jaunes à notre gauche.
On roule pendant une demi-heure dans ce paradis naturel, jusqu’à ce qu’on s’arrête devant un chemin parsemé de graviers. Un panneau indique “ Le sentier des songes”.

- Je vais m’arrêter ici, mademoiselle. Mon taxi n’a plus le droit d’avancer.

Le chauffeur sort mes bagages du coffre et démarre, me laissant plantée là, mon sac sur le dos et une valise dans chaque main. Eh bien… J’imagine que la maison se trouve au bout, et je n’ai pas le choix, si ? J’avance sur le chemin, quand je débouche soudain de l’autre côté du tournant. Une grande maison blanche se dresse fièrement devant moi. Une plaque de fer collée sur un des murets encadrant la porte annonce “ Demeure de la peintre du Lac aux Étoiles ”. Je souris et je pousse légèrement le portail orné de délicates gravures. Il s’entrebâille en grinçant un peu puis cède et s’ouvre complètement.
J’entre dans une terrasse, qui, vu les touffes d’herbes séchées dépassant d’entre les dalles sur le sol, à l’air abandonnée. Un peu déçue, je m’approche de la porte et appuie sur la sonnette. Une minute s’écoule, puis une autre. Je suis sur le point de toquer quand la porte s’ouvre.
Une jeune femme se tient dans le cadran de la porte. Elle porte une salopette en jean tachée de peinture. Ses cheveux noirs et bouclés sont rassemblés en un chignon fait à la va-vite, retenus par deux pinceaux. D’une main elle tient un pinceau, de l’autre une palette de peinture. Ses grands yeux noisettes, cachés derrière des lunettes à monture dorée, me sourient chaleureusement.

- Blanche ! s'écrie-t-elle en m’embrassant. Qu’est-ce-que tu as grandi !       

Elle me serre dans ses bras et m'entraîne à l'intérieur. Lynda sent bon...

- Entre, entre ! m'invite-elle en attrapant une de mes valises tandis que je prends l'autre. Viens, je te fais visiter.

Je la suis dans un couloir un peu sombre. Elle me fait d'abord visiter le côté gauche du couloir.

- Alors, dans l'ordre, il y a les toilettes, la salle à manger et la cuisine.

Si l'extérieur laissait penser à une vieille bâtisse, l'intérieur est très moderne.

Lynda ouvre d'abord une petite porte à l'écart (les toilettes), puis deux portes séparées de 3 mètres. La première des deux dernières donne sur une salle à manger avec une longue table en bois et des chaises blanches matelassées. Dans un coin reculé, une porte mène à une cuisine très moderne, avec des placards blancs et brillants. Il y a un un comptoir dans le mur du fond, où l'on peut manger à 4 ou 5.

Tiens... Je n'avais pas remarqué en entrant dans la pièce, mais maintenant je sens une délicieuse odeur de cannelle embaumer toute la cuisine.

- Mmmh...

J'hume l'air. Lynda sourit.

- J'ai fait des biscuits à la cannelle pour le goûter. On finit rapidement la visite et on pourra passer à table. Allez, viens, si tu ne veux pas qu'ils refroidissent !

On ressort dans le couloir. Lynda pousse ensuite une porte qui s'ouvre sur une petite salle de bain qui comporte une douche et un lavabo.

- Donc, voici la salle de bain, m'explique Lynda. Tu peux te doucher ici, même si personnellement je préfère celles à l'étage.

Je sors de la salle de bain à sa suite, puis rentre derrière elle dans une autre pièce. C'est un salon énorme, dont l'un des murs est une large porte-fenêtre. Derrière celle-ci, on peut voir un grand lac entouré de saules pleureurs roses et violets.

- Voici le lac Amora, m’indique Lynda en pointant du doigt la grande étendue d’eau. On dit que son eau serait enchantée, et qu’elle aurait des pouvoirs surnaturels, principalement grâce aux arbres autour, prétendus magiques… Mais dépêchons-nous ! Je ne vais pas continuer à te raconter toutes les légendes du coin, surtout que nous avons encore l’étage à visiter et des biscuits à manger !

Je regarde une dernière fois les canapés immaculés et la moquette blanche, la table basse en verre et le lustre en cristal pendu au plafond, puis je sors du salon.
Cette fois-ci, on emprunte un élégant escalier en bois poli situé au fond du couloir, qui débouche sur un autre couloir.
La première porte à gauche donne sur une large pièce vide hormis une grande armoire contre un mur. Quant au long mur qui fait face à la porte, il s’agit d’une baie vitrée semblable à celle au rez-de-chaussée.

- Et voici ta future chambre. Cette-nuit, tu dormiras dans la chambre d’amis, et demain, on achètera tout le mobilier nécessaire ! ajoute Lynda avec un sourire malicieux.

J’éclate de rire tandis qu’elle referme la porte et ouvre celle d’en face.

- Ladite chambre d’amis, indique Lynda en posant une de mes valises sur la moquette.

A mon tour, je dépose mon autre valise et mon sac sur le sol, puis on quitte cette chambre aux murs couleur vert olive pour faire un saut dans celle d’à côté.
Un grand lit à baldaquin blanc trône au milieu de la chambre de Lynda. A ses côtés se trouve une petite table de chevet. Un livre et son marque-page ainsi qu’une boîte de cachets sont sortis. Une penderie est incrustée dans le mur, et un grand miroir domine la pièce du haut de la cheminée. Dans un coin, une porte donne sur une salle de bains privée. Puis on sort et Lynda ferme la porte derrière nous.
On passe devant une autre porte.

- Mon bureau. Je ne te fais pas visiter, c’est un vrai bazar à l’intérieur, sourit Lynda, légèrement gênée.

Juste avant qu’elle ne claque la porte, j’ai le temps d’apercevoir un bureau croulant sous des piles de papier.

- Au fond, il y a une autre salle de bains et des toilettes, m’informe mon hôte. Et enfin, le clou de la visite… Mon atelier !

Que je vous explique : Lynda Sourire est une grande peintre, célèbre dans le monde entier. Qu’elle accepte de m’accueillir chez elle cette année est un véritable honneur et j’ai hâte de voir comment elle travaille.
Quand j’entre enfin, c’est une grande verrière abritant tableaux, peinture, pinceaux, crayons, dessins et croquis qui m’attend. La lumière inonde l’atelier, le rendant encore plus féérique.
Je contemple le tableau le plus proche. C’est un petit oiseau bleu, perché sur une branche d’arbre. Tout y est représenté dans les moindres détails, de la plus petite plume au plus insignifiant reflet du soleil. J’entends presque le chant de l’oiseau et le bruissement du vent dans les feuilles.

- C’est magnifique… je souffle.

- Alors je te l’offre ! me propose Lynda.

- Vraiment ?

- Vraiment ! acquiesce-t-elle en souriant. Tu pourras l’accrocher dans ta chambre demain.

- Oh, merci, merci, merci !!! Je l’adore ! je m’écrie.

- Mais de rien ! rie mon hôte. Allez viens, il est temps de goûter !

En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je suis dans la cuisine.

- Tu dois te dire que cette maison est bien grande pour une personne ! Eh bien, c’est parce qu’à l’époque, j’y vivais avec mes deux sœurs et mes parents. Ma sœur aînée, Margo, dormait dans ta chambre, mes parents dans ma chambre, et Chine et moi, ma petite sœur, dans la chambre maintenant transformée en atelier, me raconte Lynda en sortant les biscuits du four.

Et tandis que je croque dans mon biscuit à la cannelle, je me dis que mon séjour ici commence décidément très bien ! 

Alors ? Vous en pensez quoi ? Dites-moi si vous avez remarqué des incohérences, des répétitions, des fautes, etc... Je suis ouverte à tous vos avis, propositions et conseils ! 

Bisous pailletés ! 😘✨

Mademoi-Zèle Cosma 💜

vendredi 28 octobre 2022

Blabla d'importance minimale (mais à lire quand même !)

 Coucou ! 

Alors juste un petit article blabla pour vous informer de quelques petites choses... 

Et surtout pour vous souhaiter de bonnes vacances !!! 🍂 Ces dernières semaines ont filé à la vitesse de la lumière...

Et c'est bientôt Halloween !!! 👽💀😈🎃! 

Un article coécrit sortira bientôt... Je ne vous en dis pas plus ! 🤫😉

Voili voilou... Profitez-bien de vos vacances en encore désolée de ne pas être aussi régulière que l'année dernière...

Bisous pailletés ! 😘✨

Mademoi-Zèle Cosma 💜 

samedi 1 octobre 2022

4 tenues pour la rentrée : article spécial mode !

 Non, vous ne rêvez pas, je suis bel et bien de retour !!! 

Je vous avoue, c'était un peu compliqué... Avec la rentrée et tout le tralala, je suis un peu très fatiguée en ce moment... Mais heureusement, ce week-end, j'ai enfin eu le temps de m'y mettre ! 

Alors me revoilà, pour cet article mode que vous attendez depuis bien trop longtemps...

 

Look 1 : style "bohémienne"

longue jupe fleurie pour le côté "bohémien"
petite veste en jean pour le côté "cool"

 

grosse ceinture à boucle pour la séparation du haut et du bas 
bandana rouge pour assortir à la robe
petites bottines marron pour le côté "chic"
petit débardeur blanc pour unir le tout !

Look 2 : style "classique"

pince pour les cheveux pour le côté "aérien"
jolie chemise blanche le + la dentelle sur les manches
jean slim noir pour le côté "passe-partout"
petites ballerines rouges pour le côté "sage"

long gilet couleur crème

Look 3 : Style "estival"

jolie petite robe pour le côté "ensoleillé"
sandales dorées assorties au bronzage
pourquoi pas des tresses ?
bracelets brésiliens et coquillages pour le côté "plage"
petit gilet au cas où...

 Look 4 : style "cooucool"

T-shirt type tie&dye


short en jean bleu plus "détendu" que les jupes et robes

baskets customisées pour le côté "sportif"

petite veste en cuir ? mmh...

et un gros "messy bun" pour finir !!!

Et voilà, c'est la fin de cet article ! Malheureusement, avec l'arrivée de l'automne, tous ces habits ne sont plus tellement de saison... 🍂 A ressortir pour l'été prochain !

En attendant, profitez bien des bonnets et écharpes 🧣, avec chocolat chaud, pluie ☔ et compagnie !!! 😊😊😊 

Bisous pailletés ! 😘✨

Mademoi-Zèle Cosma 💜


J'ai vu 🎬Dune partie 2🏜️

 Coucou ! Alors oui, je sais, ça fait un long moment que je n'ai rien posté... J'ai été pas mal occupée, encore malade, les cours, b...